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Aujourd’hui, en ce 16 février
C’est le 16 février 1995 que Ristar fait son entrée dans la librairie de jeux de la Sega Genesis. Du genre plateformes, le développement est dû à Sonic Team alors que la publication a été faite par Sega.
Le dangereux pirate de l’espace, Kaiser Greedy, a réussit à contrôler par la pensée les dirigeants de plusieurs planètes du système solaire. Toutefois, c’est à partir de là que l’histoire prend une tournure différente entre la version Japonaise et celle sortie ailleurs. Au Japon, les habitants de la planète Neer souhaitent de tout cœur être secourus et leurs prières se font entendre jusqu’à la déesse Oruto qui y envoi Ristar. Celui-ci aura pour mission de mettre un terme aux activités de Greedy et de libérer les dirigeants de chaque monde de ces mauvais moments qu’ils vivent. Pour ce qui est de la version disponible à l’extérieur du Japon, le père de Ristar est un héros légendaire qui se fait enlever et son fils part à sa rescousse en plus de le faire aussi pour les dirigeants sous l’emprise de Kaiser Greedy.
Pour parvenir à ses fins, Rystar devra traverser six planètes de deux niveaux chacun, se servant de ses bras qui s’allongent afin d’agripper ses ennemis (un mouvement qui était à l’origine prévu pour l’un des jeux de Sonic the Hedgehog). Les longs bras qu’il possède l’aideront également à grimper un peu partout. Chaque niveau cache une poignée et si Ristar l’a trouve, il sera redirigé vers un niveau bonus contenant un parcours à obstacle qu’il lui faudra terminer en un temps limite. Puisqu’il n’y as que deux niveaux par planètes, nous aurons respectivement un mini boss et le boss principal à vaincre à la fin de chacun d’entre eux.
En plus de variations dans l’histoire, il y a aussi des différences en cours de jeu. Par exemple, dans la planète de glace, le boss est un chat robot au Japon mais un monstre de glace ailleurs. Au départ, le concept de Sonic mettait en vedette un lapin pouvant étirer ses oreilles pour prendre des objets, mais en cherchant une caractéristique spéciale (se rouler en boule), ils se sont dit que les hérissons faisaient ça et le concept a changé. Quelques années plus tard, le personnage du lapin allait être mis à exécution pour un jeu se nommant Feel, mais au lieu de ses oreilles, c’était maintenant les bras qui s’allongeaient. Le lapin a été mis de côté pour devenir l’étoile que nous connaissons aujourd’hui. Bien qu’il n’y ait jamais eu de suite, Ristar fait des apparitions dans Shenmue et Shenmue II (1999 et 2001 sur Dreamcast) en figurine pouvant être achetée et il est également présent dans Sonic & Sega All-Star Racing (sorti en 2010 entre autres sur Wii, DS, PlayStation 3 et XBox 360) dans une piste téléchargeable.
Également sortis un 16 février:
Ball (1982, DOS)
Foxy (1990, PC)
Mystery at the Museums (1993, DOS)
Snatcher (1996, PlayStation)
Alien Shooter: Vengeance (2007, PC)
Aliens Vs Predator (2010, PC; PlayStation 3; XBox 360)
Tropico 3 (2010, XBox 360)
Hard Corps: Uprising (2011, XBox 360)
Aujourd’hui, en ce 17 février
C’est le 17 février 1995 qu’arrive Timecop pour la Super Nintendo. Ce jeu de plateformes a été développé par Cryo Interactive Entertainment et a été publié par JVC.
Ce jeu se veut en quelque sorte la suite du film de 1994 du même nom mettant en vedette Jean-Claude Van Damme dans le rôle de Max Walker. Il y est question de voyages dans le temps alors que nous devons arrêter un savant fou qui est également un inventeur alors qu’il utilise sa machine à voyager dans le temps afin de modifier le cours de l’histoire. Nous aurons donc à le suivre dans plusieurs ères différentes allant de la préhistoire jusque dans le futur.
Ce sont donc quinze niveaux qui nous attendent alors que nous aurons à nous défendre avec trois manœuvres de combats en plus de parfois avoir accès à un fusil. Comme si de devoir faire en sorte de conserver intacte l’histoire telle que nous la connaissons en ce moment n’était pas suffisamment de pression sur nos épaules, nous avons aussi un temps limite à respecter. Tout ça dans le but de mettre un frein aux élans machiavéliques du Docteur Hans Kleindast et pour réparer les tords qu’il a déjà causé.
Il était rare à l’époque de voir des personnages digitalisés dans un jeu vidéo (ils ont aussi utilisés des voix digitalisées), ceux-ci ayant agi devant un bluescreen pour voir leurs images intégrées dans l’animation. Ce n’est toutefois pas Van Damme qui s’est occupé de faire les poses pour la version de son personnage dans le jeu. En plus de la Super Nintendo, nous aurions dû retrouver le jeu sur Sega CD également, d’autant plus qu’il était entièrement terminé. JVC a décidé, pour une raison qui ne peut qu’être supposée, d’annuler la sortie. Probablement parce que les ventes n’étaient pas au rendez-vous sur la console de Nintendo.
Également sortis un 17 février:
The Growing Pains of Adrian Mole (1987, MSX)
Super Hydlide (1989, NES)
Windjammers (1994, Arcade)
P.T.O.: Pacific Theater of Operations II (1995, SNES)
Eliminator (1999, PlayStation)
Syphon Filter (1999, PlayStation)
ECW Hardcore Revolution (2000, Nintendo 64)
Lunchtime of the Damned (2001, PC)
Pirates: The Legend of Black Kat (2002, PlayStation 2)
007: Everything or Nothing (2004, GameCube; PS2; XBox)
Street Fighter IV (2009, PlayStation 3; XBox 360)
Deadly Premonition (2010, XBox 360)
Hand of Fate (2015, PlayStation 4)
Aujourd’hui, en ce 18 février
C’est le 18 février 1984 que les amateurs de jeux vidéos peuvent découvrir Wild Gunman sur la N.E.S.. Ce jeu de tirs a été développé par Nintendo R&D1 Intelligent System et a été publié par Nintendo.
Nous y voilà… il est trop tard pour reculer maintenant. Nous sommes confronté à un duel face à des hors-la-loi qui n’auront aucun scrupule à vous descendre d’une simple pression de la gâchette. Notre seul espoir de s’en sortir, c’est en étant plus rapide qu’eux.
À notre choix, nous pouvons nous retrouver face à un seul criminel, à deux d’entre eux ou alors face à un groupe. Pour ce qui est des deux premiers choix, nous sommes dans le désert, mais pour la troisième option, nous sommes devant un Saloon et ils peuvent sortir de partout (porte ou fenêtres) que ce soit un ou deux à la fois. Mais ce qui ne change pas, c’est que nous sommes avertis une courte seconde d’avance qu’ils vont tirer alors que leurs yeux s’illuminent l’espace d’un instant.
Bien que nous pouvons être porté à croire que Duck Hunt fut le premier jeu à se jouer avec le fusil Zapper puisqu’il venait en combo avec Super Mario Bros à l’achat de la console, en vérité Wild Gunman est sorti deux mois avant le jeu de chasse aux canards. La version originale de Wild Gunman est sortie dans les arcades en 1974 et avait été créée par Gunpei Yokoi pour Nintendo. Celle-ci comprenait également un pistolet avec des images réelles projetées sur un écran. Dépendant de notre réussite ou de notre échec, la projection changeait en conséquence. Certains passages du jeu se retrouvent dans le court métrage Wild Gunman de 1978. Même si une version du jeu existe bel et bien sur arcade, celle vue dans le film Back to the Future Part II qui utilise les images de la version N.E.S. n’a toutefois jamais officiellement existé… mais venait d’une version jamais sortie de Nintendo Vs System. Il est possible de retrouver un autocollant de Wild Gunman dans Super Smash Bros Brawl sorti pour la Nintendo Wii en 2008.
Également sortis un 18 février:
Risky Woods (1993, Genesis)
Wayne’s World (1993, Genesis)
A.S.P.: Air Strike Patrol (1994, SNES)
Cool Spot (1994, Genesis)
Joe and Mac 2: Lost in the Tropics (1994, SNES)
SkyBlazer (1994, SNES)
Stop that Roach (1994, Game Boy)
Polaris SnoCross (2000, Nintendo 64; PC; PlayStation)
Banished (2014, PC)