C’est le 30 septembre 2001 que le jeu de puzzle/stratégie One Piece Mansion s’ajoute à la librairie de la PlayStation. Il a été développé et publié par Capcom.
Polpo est très occupé, il est le manager d’un bloc d’appartements qui occupe tout son temps, au point où sa jeune sœur, Putica, se plaint que Polpo ne respecte pas sa promesse de jouer avec elle. Alors qu’ils argumentaient à ce sujet, Putica se fait enlever sous les yeux de son frère. Nous apprenons rapidement que le responsable est Chocopape et que sa raison est qu’il n’aime pas que l’appartement géré par Polpo soit toujours plein car personne ne veut habiter son propre bloc d’appartements. Si Polpo veut revoir Putica, il devra obéir à sept ordres (ce qui équivaut aux sept niveaux du jeu) que Chocopape va donner. Si il ne peut pas tous les compléter, Polpo devra abandonner les droits sur ses appartements.
Notre but est de maintenir l’ordre et la paix entre les résidents en réduisant autant que possible leur stress. Si leur niveau de stress est trop élevé, ils vont déménager sans y penser une seconde fois. Les locataires peuvent affecter le niveau de stress des autres. Syndicate 5 est l’une de ces personnes nuisibles dont nous ne voulons pas entre nos murs car il dérange tout le monde, il est donc primordial de le chasser dès qu’il ambitionne. Quand tous les appartements sont occupés, il est possible de s’agrandir pour avoir plus de clients.
Ceux-ci ont des besoins qui leur sont propre et il nous faut donc être attentif à leurs demandes. Nous avons par exemple un ninja qui ne pense qu’à son entraînement, ce qui crée du stress aux appartements en diagonal du sien. Il y a un DJ qui met la musique si fort que ça dérange l’étudiant qui vit à proximité et qui tente de se préparer pour ses examens. Nous devons donc assigner les bonnes chambres aux bonnes personnes pour éviter leur colère. Toutefois, rien ne risque d’empêcher Mee, un extra-terrestre, de s’amuser à changer d’autres résidents en vache ou en roche géante en forme de tête lorsque l’envie lui prend. Que dire du pyromane qui nous fera courir partout avec notre extincteur? Le jeu possède aussi un mode Endless qui nous permet d’avancer à notre propre rythme sans les restrictions du vilain de l’histoire.
Également sortis un 30 septembre:
Knight Rider (1988, NES)
Vegas Dream (1988, NES)
Populous (1991, SNES)
Contra Force (1992, NES)
Kid Klown (1992, NES)
Daffy Duck (1994, Game Boy)
Doom II (1994, PC)
Jurrasic Park (1994, Sega CD)
The Incredible Crash Dummies (1994, SNES)
Tiny Toons Adventures: Wacky Sports Challenge (1994, SNES)
Mega Man 7 (1995, SNES)
Black Dawn (1996, PlayStation)
Casper (1996, Sega Saturn)
Age of Empires (1997, PC)
Fallout (1997, PC)
Need for Speed: V-Rally (1997, PlayStation)
Postal (1997, PC)
The Game of Life (1998, PlayStation)
Grand Theft Auto 2 (1999, PC)
Buffy the Vampire Slayer (2000, Game Boy Color)
Jurassic Park III: Park Builder (2001, GBA)
Monopoly (2002, PC)
Silent Hill: Homecoming (2008, PS3; XBox 360)
Casper (1996, Sega Saturn) ptit jeu sans prétention sympatoche
J’aimeAimé par 1 personne
Je ne sais pas si cette version de Casper est la même que sur Super Nintendo, mais je me souviens que sur cette dernière, c’était parfois un vrai casse-tête pour trouver où faire passer Kat et ainsi pouvoir continuer d’avancer.
J’aimeJ’aime