C’est le 1er octobre 1992 que Desert Strike: Return to the Gulf fait ses débuts sur la Super Nintendo. Ce shoot’em up a été développé et publié par Electronic Arts.
Tout débute lorsqu’un chef terroriste, le Général Mubaba envahit un petit émirat du Moyen-Orient, se montrant sans la moindre pitié pour quiconque tente de l’en empêcher. Ce n’est pas très long avant que l’endroit auparavant magnifique ne soit plus qu’un souvenir, l’émirat ayant été fortement transformé avec l’ajout d’usines pour fabriquer des armes nucléaires. Mubaba est également un homme très impatient, le moindre petit retard de ses plans de la part de ses troupes ne présageant rien de bon pour celui qu’il juge être le fautif.
Devant une situation qui se détériore rapidement, le président des États-Unis ordonne que quelque chose soit fait avant qu’il ne soit trop tard. Mais, pour éviter la panique chez les terroristes, un seul hélicoptère sera envoyé au cours de cette attaque préventive et c’est nous qui allons être aux commandes. Au cours d’une réunion privée avec notre copilote et notre supérieur, nous apprenons que l’un des nôtres s’est égaré là-bas et qu’il est en possession des plans nucléaires de l’ennemi. Toutefois, avant d’aller lui porter secours, il faut compléter dans l’ordre les missions qui nous sont données, comme détruire des radars et leurs avions par exemple.
En plus de tout ça, il faut garder en tête qu’il faudra régulièrement remplir notre réservoir d’essence (en appuyant sur pause et ensuite sur les flèches, nous voyons sur la carte où se trouvent les choses à détruire ou qui peuvent nous aider) et aussi que nos munitions sont limitées, donc il faut les utiliser intelligemment et chercher régulièrement pour les caisses éparpillées sur le champ de bataille qui en contiennent d’autres. Mike Posehn, le designer en chef du jeu, n’avait aucune expérience des jeux vidéos avant de développer Desert Strike. Ça n’aura pas nuit du tout puisque le jeu a tellement été apprécié que quatre suites ont vus le jour (Jungle Strike, Urban Strike, Soviet Strike et Nuclear Strike), tous tentant de garder l’essence principale du premier de la série. Un sixième jeu était prévu, Future Strike, mais il s’est plutôt transformé en Future Cop: LAPD en cours de route.
Sont également sortis un 1er octobre:
Super Mario Bros (1985, NES) / Millipede (1987, NES) / Fester’s Quest (1989, NES)
American Gladiators (1991, NES) / Wolverine (1991, NES) / Felix the Cat (1992, NES)
Home Alone 2: Lost in New York (1992, SNES) / James Bond Jr. (1992, SNES) / Phalanx (1992, SNES)
Q*Bert 3 (1992, SNES) / Daffy Duck: Marvin Missions (1993, SNES) / Last Action Hero (1993, NES)
Tetris 2 (1993, NES) / Demolition Man (1994, 3DO) / Adventures of Yogi Bear (1994, SNES)
Brain Lord (1994, SNES) / HammerLock Wrestling (1994, SNES)
Hanna Barbera’s Turbo Toons (1994, SNES) / Mickey Mania (1994, SNES) /
Super Punch Out (1994, SNES) / Secret of Evermore (1995, SNES) / Theme Park (1995, PlayStation)
Clock Tower (2 au Japon) (1997, PlayStation)/ Mischief Makers (1997, Nintendo 64)
Nightmare Creatures (1997, PS) / Resident Evil (1997, Sega Saturn) / Lucky Luke (1998, PlayStation) MediEvil (1998, PlayStation) / NHL ’99 (1998, PC) / ECW Anarchy Rulz (2000, Dreamcast)
Frogger 2 (2000, Dreamcast) / Stunt Racer 64 (2000, Nintendo 64)
Casper: Spirit Dimensions (2001, PlayStation 2) / Pizza Panic (2006, PC)
The Legend of Zelda: Phantom Hourglass (2007, DS)
Super Punch Out (1994, SNES) ^o^ et biensur S mario bros Nes pis j aurai choisi comme toi le jeu de super coptere . loin derriere j aurai mis Fester’s Quest (NES)
et theme park ou je m etais bien amusé
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Je ne base pas nécessairement mon choix sur mon jeu préféré de la liste (par exemple, je n’avais jamais entendu parler de One Piece Mansion que j’ai fait pour l’article du 30 septembre avant de faire mes recherches pour ma chronique) mais sur un qui comprend une histoire ou un concept que je trouve intéressant à partager/faire découvrir.
De plus, si je n’ai pas choisi Super Punch Out, c’est que plus tard ce mois-ci, tu pourras lire un texte sur le Punch Out de la N.E.S. et que j’avais donc préféré attendre pour cette version à la place.
Bien-sûr, il arrive parfois que je vais choisir un jeu parce que je l’ai beaucoup aimé et qu’il m’inspire dans l’écriture.
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